
Le micro-crédit ou micro-financement

Le concept de gratuité…
Tout d’abord qu’est-ce-que le « gratuit » ??
Quelque chose, un produit ou un service qu’on donne et fournit sans être rétribué.
Donc quelque chose qui ne participe pas de l’action commerciale « échange produit/service contre rétribution ».
Si l’acte est gratuit, et bien, il faut considérer qu’il ne se cache aucune arrière-pensée derrière tel que faire un bénéfice ou plus généralement, en retirer quelque chose.
Dropshipping : gagner de l’argent sur internet en vendant sans stock (trop beau…)
Concernant le Dropshipping, j’ai décidé de re-potasser un peu plus le sujet aujourd’hui. Je ne savais pas trop où ce concept en été depuis la dernière fois où je m’y suis intéressé.
Verdict : Je n’ai pas l’impression que ça est beaucoup bougé depuis . Encore des liens « morts » (là où il n’y en avait pas avant !) . Toujours les mêmes voies de garage, de sites affichant de jolies pages du style « Erreur 404″ ou « ce site n’existe plus »…. Quand à ceux qui n’ont d’autres buts que de vous refiler leur e-books, leurs vidéos de formation et leur « conseils contre rétribution« , ils sont légions ! business basé sur du vent : je vends du rêve à quelqu’un qui veut vendre du rêve à son tour, etc…
En somme, la bande passante sur internet est polluée par tout un tas de site qui n’ont aucun contenu !! Heureusement (ou malheureusement, ça dépend pour qui) Google, avec la mise à jour de son moteur de recherche PANDA, a décidé de mieux cibler les sites à contenu et de faire le ménage dans les MFA.
MFA (Made For Adsense), vous connaissez ? Là aussi, super concept : vous faites un site sans contenu mais bourré de publicités. Pour faire vite, vous recherchez un ou des mots-clés au sujet desquels il y a beaucoup de publicités proposées mais peu de sites traitant du sujet, vous faites une page contenant des liens vers ces pubs et vous attendez que les gens viennent cliquer dessus.
Bon, je m’égare.
Revenons au Dropshipping.
Ce concept est très intéressant, petit rappel :
vous vendez des produits, mais vous n’êtes que l’intermédiaire. Pas de stock à gérer, pas de colis à faire et à envoyer, vous travaillez pour un fournisseur qui se charge de tout (à charge pour vous de trouver des clients). et vous touchez une commission sur chaque vente.
Mais : prudence et vigilance ! Bref, ce que je retiens du sujet, c’est qu’il y a très peu de sites Français à proposer ce type d’offre pour le particulier. Ou alors, avec une gamme assez quelconque et relativement pauvre. Peut-être que ceux qui sont axés sur l’informatique et le high-tech trouveront leur bonheur. A condition qu’ils se tournent vers des dropshippers anglo-saxons ou étrangers en général. Un conseil, tout de même : pensez aux frais de ports !!! le marché des dropshippers américains peut être intéressant, mais il vaut mieux se tourner vers des dropshippers européens ce qui limitera les frais, il y en a de très intéressants en Angleterre, Allemagne, Belgique, etc…
Quand aux sites asiatiques, méfiance. Attention à la contrefaçon, à la qualité et aux délais de livraison. Et les frais de port !!!
Bref, on risque fort de vendre à perte, ou avec une marge ridicule : beaucoup d’énergie pour rien !
N’est pas commerçant qui veut, quoi ! Comme la photo, ça n’est pas parce que chacun de nous à un appareil numérique qu’il est un artiste !!!